de Nour-Eddine Maâmar

Librement traduite et adaptée de la pièce Hafila Tassir de Boubakeur Makhoukh,

d'après la nouvelle de Ehsan Abdel Kouddous

Prix : 10 euros

Genre : théâtre

Parution : 24 octobre 2016

Pages : 56 pages

ISBN : 978-2-36944-249-3

Résumé :

Cherif voulant rejoindre sa femme Djamila, mourante à l’hôpital, décide de prendre l’autobus. Angoissé à l’idée de ne plus la revoir et irrité par la désinvolture du chauffeur, Cherif profite de l’absence de ce dernier pour détourner l’autobus plein de ses passagers.

Nour-Eddine Maâmar :

Comédien, Metteur en scène.

Il joue treize années au sein de la compagnie « El Moudja » en Algérie, dirigée par Djillali Boudjemaa. En 1988, il quitte l’Algérie et intègre les cours Florent et l’Atelier du Théâtre National de Chaillot. Intègre le « Théâtre de Liberté » de Mehmet Ulusoy. Devient son assistant sur divers projets et stages. Joue dans divers spectacles dont « l’Alchimiste » de Paulo Coelho, « Si les requins étaient des hommes » de Bertold Brecht, « Un fou sur le toit » de Nesim Aziz … En tant que scénariste, il participe au film de « Bien dans ma peau » de Blandine Lenoir et à « Crips Ile-de-France » scénario contre les discriminations diffusé sur Canal +, Arte et TF1. Parallèlement, il intervient au sein de l’association « Sortie de secours » et milite contre la violence et l’échec scolaire.

Boubakeur Makhoukh :

Écrivain, Auteur dramaturge, Comédien, Metteur en scène.

Est surtout connu pour sont théâtre d’avant-garde et ses adaptations libres de Ghabou Lafkar, Zerdeb et Hafila Tassir (Le voleur d’autobus) œuvre de la révélation dont on disait qu’elle avait ouvert les yeux du théâtre. Menacé à plusieurs reprises, lors des années noires, il quitte l’Algérie en 1995 par le biais de l’association A.I.D.A d’Angers. Il hébergera au centre d’accueil de la communauté d’Emmaüs de Fontenay Le Comte et décède en France à l’âge de 44 ans. « Les plus belles œuvres ont été enfantées dans l’angoisse et la tourmente […] Quelqu’un qui aime profondément son métier se battra tout le temps pour le hisser au plus haut niveau ». B. Makhoukh